Le stress et les traumatismes vous maintiennent dans votre cerveau de survie. L’énergie et l’attention de votre corps sont instinctivement mises sur la défensive pour tenter de répondre par la positive à la question «suis-je en sécurité?».
Il est donc difficile, pour les informations entrantes, de remonter vers le cerveau d’apprentissage, ce qui est nécessaire à la cognition, à la résolution de problèmes et à la prise de décisions éclairées pour guider le comportement.
Le stress peut ressembler à un rocher que l’on essaie de sortir d’un marécage. Son poids peut vous faire retomber dans le marécage du cerveau de survie. Plus vous êtes stressé, plus il vous est facile de rester dans le marécage du cerveau de survie — un état de vigilance accrue et de détection des menaces, et plus vous vous éloignez du soleil radieux du cerveau d’apprentissage — où vous êtes capable de penser, de planifier et de résoudre des problèmes.